-
Partager cette page
histoire des établissements - La Droitière
On retrouve dès le XV° siècle trace écrite de la Droitière dans le cadre des possessions de la famille de Malestroit, seigneurs d'Oudon. Au XVIIe siècle, les Thiercelin en deviennent propriétaires puis, au siècle suivant, le château passe par alliance avec les précédents à la famille de la Brosse dont l'un des membres, François, le fait reconstruire dans le style Louis XVI, tout au moins le corps de bâtiment central daté de 1788. Les ailes ne seront ajoutées que près d'un siècle plus tard par la famille Fleury. Mathilde Fleury était la sœur de Jules Verne qui a souvent séjourné à la Droitière et y a sans doute imaginé et peut-être écrit certaines de ses œuvres.
C'est en 1932 que la Droitière entre dans le domaine hospitalier en tant que maison de convalescence privée, puis très vite se transforme en sanatorium avec aménagement d'une galerie de cure. La présence de tuberculeux épargne au château pendant la guerre les inconvénients de l'occupation allemande. Enfin en 1963, le CHR prend possession de la propriété pour y installer un service de convalescents (124 lits), puis dans une "unité normalisée", la première construite à Nantes, un service de long-séjour de 150 lits pour personnes âgées dépendantes. En 1990, les patients sont déplacés à l'hôpital Saint-Jacques. L'établissement est définitivement fermé en février 2000 et le bâtiment vendu.
source: AHHPSN
C'est en 1932 que la Droitière entre dans le domaine hospitalier en tant que maison de convalescence privée, puis très vite se transforme en sanatorium avec aménagement d'une galerie de cure. La présence de tuberculeux épargne au château pendant la guerre les inconvénients de l'occupation allemande. Enfin en 1963, le CHR prend possession de la propriété pour y installer un service de convalescents (124 lits), puis dans une "unité normalisée", la première construite à Nantes, un service de long-séjour de 150 lits pour personnes âgées dépendantes. En 1990, les patients sont déplacés à l'hôpital Saint-Jacques. L'établissement est définitivement fermé en février 2000 et le bâtiment vendu.
source: AHHPSN