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PORTRAIT - Karine infirmière en pratique avancée (IPA)
La formation d’infirmière en pratique avancée n’existe en France que depuis 2018.
Aujourd’hui, dans tout l’Hexagone, seulement 12 infirmières exercent cette fonction en médecine interne et Karine, au CHU de Nantes, en fait partie.
Ce qui lui plaît le plus dans le métier
« Après 18 ans d’exercice en tant qu’infirmière au CHU de Nantes, j’avais envie de me lancer dans un nouveau projet et d’apporter une plus-value au service de médecine interne », précise Karine qui travaille à l’Hôtel-
Dieu. Pari gagné ! Le CHU a financé sa formation d’infirmière en pratique avancée (IPA) qui a duré deux ans, de 2020 à 2022.
Le rôle d’une IPA ? Réaliser des consultations en autonomie ou en présence du médecin, rédiger des ordonnances, orienter les patient vers des examens, faire de l’éducation thérapeutique personnalisée et fluidifier ainsi au maximum le parcours de soins des patients.
Autre volet du métier : la formation.
Karine forme ses collègues à certains traitements ou pathologies, et dispense également des cours sur la corticothérapie auprès des étudiantes IPA de Nantes. « Nous sommes deux IPA au sein du service et avons été parmi les premières à être formées en France. Nous sommes donc parties d’une page blanche ! Il a fallu tout créer : nos fiches de poste, des protocoles d’organisation, des outils d’évaluation… Pour cela, nous nous sommes inspirées de ce qui se faisait dans d’autres services ou à l’international », explique Karine Lassalle. Création d’une bibliothèque de documents sur les maladies rares à destination des patients, projet de suivi des patients qui souffrent de dépranocytose… : les projets innovants pour améliorer la qualité des soins ne manquent pas et les patients semblent apprécier grandement !
Aujourd’hui, dans tout l’Hexagone, seulement 12 infirmières exercent cette fonction en médecine interne et Karine, au CHU de Nantes, en fait partie.
Ce qui lui plaît le plus dans le métier
« C’est le contact privilégié avec les patients ! Quand on est infirmière, on passe de moins en moins de temps avec les patients... En tant qu’infirmière en pratique avancée, on me donne le temps de discuter avec eux, de les informer sur un traitement ou une pathologie. C’est un vrai plus. Certains nous demandent même pourquoi cela n’existait pas avant ! »
« Après 18 ans d’exercice en tant qu’infirmière au CHU de Nantes, j’avais envie de me lancer dans un nouveau projet et d’apporter une plus-value au service de médecine interne », précise Karine qui travaille à l’Hôtel-
Dieu. Pari gagné ! Le CHU a financé sa formation d’infirmière en pratique avancée (IPA) qui a duré deux ans, de 2020 à 2022.
Le rôle d’une IPA ? Réaliser des consultations en autonomie ou en présence du médecin, rédiger des ordonnances, orienter les patient vers des examens, faire de l’éducation thérapeutique personnalisée et fluidifier ainsi au maximum le parcours de soins des patients.
Autre volet du métier : la formation.
Karine forme ses collègues à certains traitements ou pathologies, et dispense également des cours sur la corticothérapie auprès des étudiantes IPA de Nantes. « Nous sommes deux IPA au sein du service et avons été parmi les premières à être formées en France. Nous sommes donc parties d’une page blanche ! Il a fallu tout créer : nos fiches de poste, des protocoles d’organisation, des outils d’évaluation… Pour cela, nous nous sommes inspirées de ce qui se faisait dans d’autres services ou à l’international », explique Karine Lassalle. Création d’une bibliothèque de documents sur les maladies rares à destination des patients, projet de suivi des patients qui souffrent de dépranocytose… : les projets innovants pour améliorer la qualité des soins ne manquent pas et les patients semblent apprécier grandement !
« Je me sens toujours à l’avant-garde : nous sommes constamment en train de créer de nouvelles choses, de nouveaux outils, de nouveaux projets. Il ne se passe pas un mois sans une première fois, c’est incroyable ! »