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Pour renforcer la détection de l’anémie et s’assurer que le donneur ne sera pas affaibli par le don. Les femmes doivent avoir un taux d’hémoglobine supérieur à 12g/dL et les hommes à 13 g/dL pour pouvoir donner. Le dosage est réalisé par ponction capillaire (au doigt du donneur) à l’aide d’un photomètre. Il concerne tous les nouveaux donneurs, les donneurs connus n’ayant pas donné depuis au moins deux ans ou quand le taux d’hémoglobine au dernier don est à la limite des seuils et quand le médecin décèle à l’entretien médical un risque possible d’anémie.
Pourquoi recueillir des échantillons sanguins?
Les échantillons sanguins recueillis lors du prélèvement sont soumis systématiquement à une série d’analyses et de tests de dépistages : numération globulaire (dépistage d’une anémie ou d’une anomalie des cellules du sang), détermination du groupe sanguin, recherche d’anticorps irréguliers, dépistage des virus de l’hépatite B, de l’hépatite C, du VIH, de la syphilis, HTLV, des anticorps paludéens en cas de séjour dans une zone d’endémie palustre, dépistage de la maladie de Chagas selon les données de l’entretien médical. Un échantillon sera conservé pendant cinq ans afin de rechercher d’éventuelles anomalies non décelées au moment du don et qui seraient observées chez une personne ayant reçu le sang. En cas d’anomalie, le donneur est personnellement et confidentiellement avisé par l’Etablissement français du sang. En l’absence d’anomalie le sang est utilisé, après avoir été séparé en ses différents constituants. Ne pas mentionner une information sur son état de santé, son mode de vie revient immanquablement à risquer de mettre en péril sa santé mais aussi et surtout la santé du malade qui recevra le sang.