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anévrisme cérébral : faut-il en avoir peur ?
le 5 mai 2010
Environ 2 à 3% de la population est porteuse sans le savoir d’un anévrisme cérébral. Heureusement, la majorité des anévrismes sont de petite taille et n’entraîneront jamais de symptômes au cours de la vie.
Le risque d'un anévrisme est la rupture, qui survient très brutalement, se signalant en général par un mal de tête explosif. Cette complication touche environ 3000 personnes par an en France et peut avoir des conséquences dramatiques.
Le 11 mai 2010, l'association France AVC 44 organise dans le cadre de la journée européenne de prévention des AVC, une rencontre avec les médecins et chercheurs du CHU de Nantes spécialisés dans les anévrismes cérébraux (le CHU de Nantes est l'un des premiers centres en France pour la prise en charge des anévrismes).
Les multiples questions que soulèvent cette maladie seront évoquées. Quels sont les facteurs de risque de développer un anévrisme ? Quelle est la part de l'hérédité ? Existe t'il des signes d'alerte avant la rupture ? Faut-il dépister les anévrismes cérébraux ? La rupture d'anévrisme : reconnaître les symptômes pour réagir efficacement. Quels sont les traitements ?
Un moment d'échanges est prévu avec des témoignages de patients et de leur famille.
Programme disponible ici.
Mesdames et Messieurs les journalistes sont conviés à rencontrer Dominique Bénichou, présidente de France AVC 44, le Dr Benoît Guillon de l'unité neurovasculaire (UNV) du CHU de Nantes et le Dr Hubert Desal, service de neuroradiologie diagnostique et interventionnelle du CHU de Nantes le 5 mai à 11h30, salle de staff de l'unité neurovasculaire, hopital Nord-Laënnec, 4e étage aile ouest.
Contact : Dr Benoît Guillon au 06 18 03 53 66