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- enseignement - formation,
la visioconférence au service de la formation en MPR
Publié le 4 avril 2012
Les internes du service de médecine physique et réadaptation neurologique sont associés aux réunions par visioconférence.
À la demande du Pr Perrouin-Verbe, la salle de staff du service de médecine physique et réadaptation (MPR) neurologique s'est dotée d'un système de visioconférence qui tourne à plein régime.
Le démarrage s'est fait en douceur, accompagné par du personnel de la DSIT. Présent à chaque séance pour parer aux éventuels problèmes techniques, le technicien a fignolé les derniers branchements. Trois grands écrans complétés par du matériel informatique et une sonorisation équipent désormais cette salle.
En 2009, le Pr Perrouin-Verbe, le Dr Loïc Le Normand, le Dr Jean-Jacques Labat, tous trois membres du groupe d'étude de neuro-urologie de langue française (Genulf), ont créé le groupe de neuro-urologie du Grand Ouest (GNUI) afin de mettre l'expertise du CHU de Nantes dans le domaine de la neuro-urologie au service des équipes impliquées dans le Grand Ouest.
Depuis, le GNUO organise régulièrement des séances de télémédecine qui réunissent des établissements hospitaliers comme ceux de Rennes, Brest, Saint-Brieuc, Quimper et de plus petites structures comme Ploërmel. Ce groupe d'experts, composé de médecins de MPR spécialisés dans la MPR neurologique et d'urologues, favorise les échanges entre les différentes disciplines, afin de développer des protocoles d'études cliniques en neuro-urologie, d'organiser des staff de neuro-urologie en visio-conférence dans le Grand Ouest et de renforcer la multidisciplinarité, notamment entre la médecine physique et réadaptation et l'urologie. La finalité étant une harmonisation des pratiques et une amélioration de la qualité de prise en charge des patients ayant un handicap neuro-urologique.
Le Pr Perrouin-Verbe, le Dr Le Normand et le Dr Labat, très actifs au sein de ce groupe, ont souhaité associer à ces séances une trentaine d'internes d'urologie et de MPR neurologiques afin qu'ils puissent bénéficier de ces échanges entre professionnels et des cas pratiques qui y sont évoqués.
Pour l'étude de cas pratiques
De l'avis unanime des médecins, la télémédecine est un outil qui optimise les échanges entre praticiens et qui permet, comme à Nantes, d'en profiter pour associer des étudiants à l'étude de cas pratiques.
Brigitte Perrouin-Verbe travaille également avec le CHU de Brest sur les troubles de la marche pour des patients atteints de lésions neurologiques graves. Plusieurs dossiers patients y sont étudiés, en séances de télémédecine, toujours en présence d'internes.
Depuis janvier 2012, la salle accueille aussi des séances de bibliographie entre internes et chefs de clinique de l'interrégion Ouest. À chaque séance, un chef de clinique choisira, à tour de rôle, un article que les internes devront analyser
ensemble. Brigitte Perrouin-Verbe attache beaucoup d'importance au partage des savoirs entre les jeunes praticiens : « Cet outil permet vraiment une optimisation des connaissances ».
Cours à distance, supports en ligne...
Le télé-enseignement dans l'enseignement secondaire et supérieur se développe
depuis quelques années. L'apprentissage à distance permet aux enseignants
d'envoyer des schémas, images et autres ressources visuelles aux étudiants dans différents sites en même temps. L'élève peut télécharger ou consulter en ligne des
supports divers.
Le ministère de l'Éducation nationale a notamment encouragé le Cned (Centre national d'enseignement à distance) à fonder l'Académie en ligne pour ses étudiants.
Une école d'enseignement à distance a même été créée en 2009 pour des élèves du secondaire. L'école française en ligne propose aux élèves d'un collège ou d'un lycée de suivre des cours en direct via internet.
Le démarrage s'est fait en douceur, accompagné par du personnel de la DSIT. Présent à chaque séance pour parer aux éventuels problèmes techniques, le technicien a fignolé les derniers branchements. Trois grands écrans complétés par du matériel informatique et une sonorisation équipent désormais cette salle.
En 2009, le Pr Perrouin-Verbe, le Dr Loïc Le Normand, le Dr Jean-Jacques Labat, tous trois membres du groupe d'étude de neuro-urologie de langue française (Genulf), ont créé le groupe de neuro-urologie du Grand Ouest (GNUI) afin de mettre l'expertise du CHU de Nantes dans le domaine de la neuro-urologie au service des équipes impliquées dans le Grand Ouest.
Depuis, le GNUO organise régulièrement des séances de télémédecine qui réunissent des établissements hospitaliers comme ceux de Rennes, Brest, Saint-Brieuc, Quimper et de plus petites structures comme Ploërmel. Ce groupe d'experts, composé de médecins de MPR spécialisés dans la MPR neurologique et d'urologues, favorise les échanges entre les différentes disciplines, afin de développer des protocoles d'études cliniques en neuro-urologie, d'organiser des staff de neuro-urologie en visio-conférence dans le Grand Ouest et de renforcer la multidisciplinarité, notamment entre la médecine physique et réadaptation et l'urologie. La finalité étant une harmonisation des pratiques et une amélioration de la qualité de prise en charge des patients ayant un handicap neuro-urologique.
Le Pr Perrouin-Verbe, le Dr Le Normand et le Dr Labat, très actifs au sein de ce groupe, ont souhaité associer à ces séances une trentaine d'internes d'urologie et de MPR neurologiques afin qu'ils puissent bénéficier de ces échanges entre professionnels et des cas pratiques qui y sont évoqués.
Pour l'étude de cas pratiques
De l'avis unanime des médecins, la télémédecine est un outil qui optimise les échanges entre praticiens et qui permet, comme à Nantes, d'en profiter pour associer des étudiants à l'étude de cas pratiques.
Brigitte Perrouin-Verbe travaille également avec le CHU de Brest sur les troubles de la marche pour des patients atteints de lésions neurologiques graves. Plusieurs dossiers patients y sont étudiés, en séances de télémédecine, toujours en présence d'internes.
Depuis janvier 2012, la salle accueille aussi des séances de bibliographie entre internes et chefs de clinique de l'interrégion Ouest. À chaque séance, un chef de clinique choisira, à tour de rôle, un article que les internes devront analyser
ensemble. Brigitte Perrouin-Verbe attache beaucoup d'importance au partage des savoirs entre les jeunes praticiens : « Cet outil permet vraiment une optimisation des connaissances ».
Cours à distance, supports en ligne...
Le télé-enseignement dans l'enseignement secondaire et supérieur se développe
depuis quelques années. L'apprentissage à distance permet aux enseignants
d'envoyer des schémas, images et autres ressources visuelles aux étudiants dans différents sites en même temps. L'élève peut télécharger ou consulter en ligne des
supports divers.
Le ministère de l'Éducation nationale a notamment encouragé le Cned (Centre national d'enseignement à distance) à fonder l'Académie en ligne pour ses étudiants.
Une école d'enseignement à distance a même été créée en 2009 pour des élèves du secondaire. L'école française en ligne propose aux élèves d'un collège ou d'un lycée de suivre des cours en direct via internet.