Publié le 12 décembre 2008 Mis à jour le 13 avril 2018

La recherche est indispensable pour que la médecine continue de faire des progrès, pour assurer de meilleurs soins et guérir de plus en plus de pathologies.

Elle est de 2 types. La recherche clinique va évaluer un nouveau médicament, un nouveau matériel, une nouvelle technique, une nouvelle méthode… Les règles de la rigueur sont devenues extrêmement exigeantes. Tout projet doit obtenir l’aval d’une part d’un comité scientifique, et d’autre part d’un comité d’éthique, pour votre protection.

Certes, participer à un essai clinique comporte un certain nombre d’inconnues, puisque l’essai est destiné à clarifier l’efficacité et la tolérance du produit. Mais d’un autre côté, vous bénéficiez de ce qu’il y a de mieux comme surveillance étroite (médicale et technique), comme innovation thérapeutique, et vous participez à une action collective pour valider ces produits et techniques pour le bien du plus grand nombre ultérieurement.

Il faut savoir que nous ne faisons pas de phase 1 (premiers essais d’un nouveau produit chez l’homme), de rares phases 2 (premiers essais dans la maladie), mais surtout des phases 3 (grandes études internationales de pré-commercialisation d’un produit) ou des phases 4 (produit déjà commercialisé). Nous mettons à votre disposition une brochure d’information sur ces essais cliniques, et n’hésitez pas à nous demander plus de précisions.

Nous collaborons également avec 2 unités INSERM nà Nantes dans le domaine de la Rhumatologie. Certains des membres de l’équipe font également partie de ces équipes INSERM,
la collaboration fondamentalistes et cliniciens étant très fructueuse :

  • LIOAD (Laboratoire d’Ingénierie OstéoArticulaire et Dentaire U791) travaille avec nous sur le cartilage et l’arthrose d’une part, et sur la dégénérescence du disque intervertébral d’autre part.
  • LPRO (Laboratoire de Physiologie de la Résorption Osseuse U957) explore la résorption et destruction de l’os, tant tumoral que lors des rhumatismes inflammatoires chroniques.

Il se peut que l’on vous demande l’autorisation de garder une partie des prélèvements que nous pouvons réaliser à destination de ces laboratoires de recherche. Nous vous en demanderons alors l’autorisation.